samedi 4 août 2007
Mon avion perso
Aller petit post pour une belle image en vol tranche du 2eme vol du yak54 qui a une joli déco je trouve :)
Lexique
Et voici quelques définitions et un lien avec d'autres termes :
ACCUS ou accumulateurs : Batteries servant à alimenter le matériel en électricité. Elles sont en général au Cadmium-Nickel pour les alimentations des radiocommandes, mais peuvent être au plomb (pour un moteur de navire, par exemple), ou utiliser d'autres technologies plus efficaces.
AILERON : Gouverne placée sur une aile et qui agit sur l'axe de roulis de l'aéronef.
BALSA :
De l'espagnol balsa : radeau.
Arbre poussant dans la plupart des pays équatoriaux et utilisé autrefois par les indiens d'AMÉRIQUE du SUD pour confectionner des radeaux.
Caractérisé par un faible poids spécifique mais aussi par une grande variété dans ce poids spécifique qui passe de 0,07 à 0,45. Il est évident que plus il est tendre, plus il est léger.
Utilisations : Aéromodélisme, aviation pour des pièces n'ayant pas besoin de résistance mécanique, empennages de certaines fusées (recouverts de métal léger), flotteurs de pêche, emballages.
DÉRIVE :
Partie verticale de l'empennage. Elle comprend souvent une partie mobile, le gouvernail de direction, qui porte aussi un flettner fixe ou mobile.
La dérive est quelquefois mobile entièrement. Elle est placée en général au-dessus du fuselage, mais comporte souvent une partie au-dessous appelée sous-dérive. Elle peut être entièrement sous le fuselage.
Un appareil peut comporter deux ou plusieurs dérives (bidérive, tridérive).
La forme d'une dérive n'a aucune importance. C'est sa surface qui compte seule.
FRÉQUENCE : Fréquence de l'onde utilisée par un poste émetteur.
En modélisme radiocommandé, les fréquences autorisées en France sont dans la bande des 26, 41 et 72 MégaHertz (MHz).
http://clap54b.free.fr/spiraleslexique/A.htm (Merci à l'auteur pour le travail accompli)
ACCUS ou accumulateurs : Batteries servant à alimenter le matériel en électricité. Elles sont en général au Cadmium-Nickel pour les alimentations des radiocommandes, mais peuvent être au plomb (pour un moteur de navire, par exemple), ou utiliser d'autres technologies plus efficaces.
AILERON : Gouverne placée sur une aile et qui agit sur l'axe de roulis de l'aéronef.
BALSA :
De l'espagnol balsa : radeau.
Arbre poussant dans la plupart des pays équatoriaux et utilisé autrefois par les indiens d'AMÉRIQUE du SUD pour confectionner des radeaux.
Caractérisé par un faible poids spécifique mais aussi par une grande variété dans ce poids spécifique qui passe de 0,07 à 0,45. Il est évident que plus il est tendre, plus il est léger.
Utilisations : Aéromodélisme, aviation pour des pièces n'ayant pas besoin de résistance mécanique, empennages de certaines fusées (recouverts de métal léger), flotteurs de pêche, emballages.
DÉRIVE :
Partie verticale de l'empennage. Elle comprend souvent une partie mobile, le gouvernail de direction, qui porte aussi un flettner fixe ou mobile.
La dérive est quelquefois mobile entièrement. Elle est placée en général au-dessus du fuselage, mais comporte souvent une partie au-dessous appelée sous-dérive. Elle peut être entièrement sous le fuselage.
Un appareil peut comporter deux ou plusieurs dérives (bidérive, tridérive).
La forme d'une dérive n'a aucune importance. C'est sa surface qui compte seule.
FRÉQUENCE : Fréquence de l'onde utilisée par un poste émetteur.
En modélisme radiocommandé, les fréquences autorisées en France sont dans la bande des 26, 41 et 72 MégaHertz (MHz).
http://clap54b.free.fr/spiraleslexique/A.htm (Merci à l'auteur pour le travail accompli)
jeudi 2 août 2007
Bien débuter
Pour bien commencer, le mieux et de se renseigner au prés du club le plus proche de chez vous. Car au point de vue sécurité et assurance, il faut être rattacher à un club. De plus cela permet d apprendre énormément et les personnes affiliées au club pourront vous donner des conseils au point de vue construction ou encore pour le vol. Et cela vous permettra de ne pas passer des heures à réparer votre avion.
Voici donc le site regroupant tous les club rataché a la FFAM (Fédération Française d'Aéromodélisme).
http://www.ffam.asso.fr/ct_guides.htm
Voici donc le site regroupant tous les club rataché a la FFAM (Fédération Française d'Aéromodélisme).
http://www.ffam.asso.fr/ct_guides.htm
Avec quel type d'avion commencer ?
On ne peux malheureusement pas "apprendre à voler" avec un avion type warbird (avion de guerre) ou de VGM (voltige grand modèle) ou bien encore de racer. Car pour apprendre à piloter, ces avions sont trop pointus.
Il faut donc commencer avec un avion d'environ 1m60 (facile a visualiser), à aile haute (plus facile pour les atterrissages) et dont le poids en général n'excède pas les 3kg, ce qui permet d'apprendre les atterrissages difficiles.
Voici par exemple le type d'avion possible pour débuter :
Il faudra aussi acquérir une radio, les servos pour actionner les gouvernes, un récepteur et les accus pour alimenter le tout. Il faut compter entre 300 et 400 euros.
Il faut donc commencer avec un avion d'environ 1m60 (facile a visualiser), à aile haute (plus facile pour les atterrissages) et dont le poids en général n'excède pas les 3kg, ce qui permet d'apprendre les atterrissages difficiles.
Voici par exemple le type d'avion possible pour débuter :
Caractéristiques
- Envergure 1600m
- Longueur 1300 mm
- Surface 43 dm²
- Poids 2400 à 2500 g
- Charge alaire 58g/dm2
- Motorisation GX 40 (6,5cc)
Il faudra aussi acquérir une radio, les servos pour actionner les gouvernes, un récepteur et les accus pour alimenter le tout. Il faut compter entre 300 et 400 euros.
mercredi 1 août 2007
A qui s'adresse cette passion et pourquoi?
A tout le monde, elle permet de comprendre et d'apprendre sur les éléments qui nous entourent.
La construction d'avions en modèles réduits radio-commandés permet de se familiariser avec les lois générales de l'aérodynamique. Que l'avion soit petit ou grand, le pilote doit maîtriser le même élément: l'air. Les notions de base de la physique, de la mécanique et de l'électronique sortent de l'abstrait. Elles s'appliquent dans la pratique, sur le terrain, en plein air.
L'aéromodélisme nous invite à une double expérience :
A tout le monde, elle permet de comprendre et d'apprendre sur les éléments qui nous entourent.
La construction d'avions en modèles réduits radio-commandés permet de se familiariser avec les lois générales de l'aérodynamique. Que l'avion soit petit ou grand, le pilote doit maîtriser le même élément: l'air. Les notions de base de la physique, de la mécanique et de l'électronique sortent de l'abstrait. Elles s'appliquent dans la pratique, sur le terrain, en plein air.
L'aéromodélisme nous invite à une double expérience :
- La construction du modèle qui nous apprend à découper, à préparer et à assembler les éléments de la structure suivant le plan, à y installer la propulsion et tout le matériel de contrôle, à recouvrir les surfaces extérieures et à en assurer la finition.
- Ensuite, le vol du modèle pour lequel on procédera aux essais, aux mises au point et réglages avant de décoller pour la grande aventure.
Aeromodelisme
Qu'est ce que l'aéromodélisme ?
En voici une petite définition : Construction, utilisation et technique de vol des avions en modèle réduit.
Ou plus en détail, c'est la construction de maquettes, le plus souvent en balsa (bois très léger) dont le but sera de la faire voler à l'aide d'un moteur thermique ou électrique.
Ces avions à échelle réduites peuvent aller de 40cm à plus de 3 mètres d'envergure. Leurs motorisations peuvent aussi parfois dépasser les 200cm3.
(Yak 54 de 2.16m motorisé par un 50cm3)
Inscription à :
Articles (Atom)